Tuesday, October 31, 2006

Le Conditionnement (Part I)

On est tous victime du conditionnement, on l'a senti et subi ses conséquences. Des fois on se rend compte, des fois non. Des fois on veut y échapper, des fois on se soumet.

D'abord, j'appelle conditionnement tout ce qui entoure l'homme et influence son jugement ou sa prise de décision. Psychologiquement parlant, le conditionnement est décrit dans les théories de behavioristes comme étant la technique qui, à partir de l'introduction d'un stimulus, permet d'avoir une réaction qui ne peut exister naturellement (sans ce stimulus). En appliquant le conditionnement au développement de la personnalité de l'être et à sa façon d'agir, on peut conclure que les médias est l'un des exemples clair du conditionnement d'une population, mais aussi nos traditions, la famille, la rue, l'école et même la religion...

Commençons par introduire notre environnement d'étude du conditionnement, il est composé essentiellement par : le stimulus, l'individu à stimuler et la réponse de l'individu face à ce stimulus : (Stimulus, Individu, La réponse de l'individu).

Le conditionnement cherche à conduire l'individu à une réponse bien définit.

Une personne vit entourée par d'autres individus, un sentiment d'appartenance est né depuis le jeune âge. Et c'est ce sentiment qui, en fait, favorise le terrain du conditionnement. Considérons l'être comme une entité indépendante du reste du monde, supposons que l'être agit indépendamment des autres : On aurait remarqué une certaine liberté. On peut dire que la réponse de l'individu ne dépendra à aucun stimulus, la liberté est alors absolue. Par contre, si la réaction au même stimulus prendre la forme de dépendance, dépendance aux mœurs, aux autres, à la culture,… D'où, le conditionnement prendra la relève. La liberté ne sera pas absolu mais dépendra de certains facteurs externes à l'être.

On remarquera alors que la liberté et le conditionnement sont étroitement liés. Plus les réactions sont conditionnées, plus la liberté est affectée.

Tuesday, October 24, 2006

La vie est une question de...

Question pour un champion n'est ce pas ?

Oui mais bon, à vrai dire c'est une façon comme d'autres afin d'essayer de voir ce qui fait l'essence de la vie (je crois que je vais finir par changer tout en Diesel), vouloir comprendre ce qu'on peut lui faire pour qu'elle nous donne ce qu'on attend d'elle. Enfin, profiter de la vie comme il le faut sans perdre ou regretter un seul instant, en d'autres termes jouir de la vie (heureusement que c'est au féminin la vie lol).

Certains disent que c'est une question de choix, d'autres de chance, d'autres ne se posent même pas la question, disant que tout est bien écrit "maktoub" (comme l’a si bien dit Paolo Coelho dans L'Alchimiste). Je reviens sur ce dernier, qui n'est que source de désespoir: on attend que la vie nous sourit alors qu'on ne fournisse même pas l'effort pour qu'elle le fasse, on stagne sans se soucier de ce qui va après, pensant que ça va se faire de toute les façons...

La vie est une question de choix. Je me rappelle un des films qui m'ont bien marqué "The Butterfly Effect", tout ce qu'on vit est une conséquence directe ou indirecte de nos choix dans le passé proche ou lointain (théorie du chaos et la sensibilité aux conditions initiales). J'avoue que c'est une approche assez rationnelle, mais très extrémiste dans le sens où à un certain moment, quand tu te retrouveras entouré par un certain nombre de problèmes, tu diras: "tout est de ma faute, si j'avais pas fait ceci, j'aurai pas subit cela...", tu te plongeras dans le passé, cherchant l'origine de ton problème et comme "Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme." Tu finiras par regretter tout ce que t'as fait, te lamenter, mettre tout le poids de la vie sur toi, et je vous assure que ça pèse énormément. Elle est grosse la vie :-).

La vie est maintenant question de chance, oui!!! Je suis chanceux, je suis ici parmi vous, je vous écrit, quel heureux hasard !! C'est très bien. On est heureux que la vie nous a sourit mais du moment qu'elle commence à nous faire voir ses griffes, on va la haïr, on détestera même le jour de notre naissance. On dira: "On n'est pas aussi chanceux que ça, la vie ne nous aime pas,...." Et hop, à la tristesse infinie.

Mais la vie est question de quoi alors ????

La vie est tout simplement n'est pas une question mais plutôt une réponse. Une réponse à quoi ? Une réponse à l'envie de vivre, de réussir, de voir le bonheur même pour un jour, l'essentiel qu'on le voit. L'envie, oui l'envie, la mécanique qui démarre tout ce qu'on ressent. On aime, parce qu'on a envie de se sentir aimé, bien entouré, envie de vivre l'amour... On réussit parce qu'on a envie la joie de réussir, envie que les autres nous voit d'un regard de fierté, de grandeur, de jalousie même (ça nous plaît de le sentir).


Enfin, la vie est une réponse à notre envie.

Monday, October 23, 2006

Virtuellement… Réel…

J’étais en train de feuilleter quelques pages de blogs que j’ai suivi de lien en lien, prenant du plaisir à lire quelques uns, regardant les photos de certains, rigolant de blagues ou d’histoires d’autres. En d’autres termes, je me suis plongé dans les traductions spirituelles que laissent les bloggeurs, chacun à sa façon, dans leurs pages.

Ce qui m’a poussé à écrire ce message ce n’ai pas ce genre d’écrits mais plutôt certains commentaires, ou certaines réactions, quelques remarques qui se transforment en bagarres virtuelles, quelques réactions "un peu déplacées" mettant en cause toute une culture de civisme et de bonne conduite, et surtout l’une des premières règles de liberté, à savoir la liberté d’expression (tant que c’est dans le respect mutuel : des personnes, de leurs croyances, de leurs patrimoines…).

La premier idée qui m’a traversé l’esprit : "Le monde virtuel n’est qu’une image très fidèle à la réalité que nous vivons et que nous voyons tous les jours.". Je pense que c’est une bonne chose, car ça donne de la valeur, surtout de la transparence, de la vie virtuelle par rapport à la vie réelle. Les réactions qu’on voit tous les jours, on en voit ici dans certains commentaires, certains écrits aussi. Pourquoi une telle agressivité ? Pourquoi on ne traite pas les sujets de façon plus rationnelle et plus calme ?

La seconde idée c’est plutôt par rapport aux intervenants : "Pourquoi c’est toujours pareil ? Des gens qui se mêlent du n’importe quoi, pour enfin dire n’importe quoi. Et le résultat une bagarre virtuelle là les sous-entendus et les paroles déplacées sont les maîtres d’œuvres." Je crois bien qu’on ne s’éloignent pas trop de la réalité, on n’a hérité du soleil que le sang chaud :-). Pauvre soleil, je sais bien qu’il n’a rien à voir. Des fois, on se dit, c’est notre structure génétique qui fait de nous un peu trop agressif, on s’acharne pour du n’importe quoi. Bref, toutes les excuses sont bonnes, mais enfin de compte, c’est dû à un manque de civisme et de bonnes manières énormissime, qui dépasse même la limite du raisonnable.

Tout ça m'a persuadé à dire que ce qu’on vit à travers ces pages n’est que des leçons qu’on peut les transposer facilement à notre vie réelle. Des fois même, je me dis qu’entre le virtuel et le réel, il n’y a que... l’écran…

Friday, October 20, 2006

The Butterfly Effect ou L'effet Papillon...

Je vient d'apprendre que "The butterfly Effect 2" vient de sortir. Le premier est sorti en 2004, que je vous conseille vivement de le voir. Je ne sais pas si le deuxième sera à la hauteur. En fait, le film traduit l'effet papillon mais sous forme de destin, choix, conséquences,... J'avoue que le film est complexe au premier abord, mais l'idée est originale. En effet, un garçon a le don de revenir dans le temps pour modifier un de ses choix, mais malheureusement à chaque fois qu'il change de choix, et quand il revient au présent, il verra que les conséquences de son choix seront pire qu'avant et ainsi de suite. Je vous laisse le soin de voir le reste du film.
Sinon pour ce qui est de l'effet papillon, physiquement parlant, a une relation avec la théorie du chaos. Vous trouverez sur le net des tas de documents parlant de ça.

Si on transpose cette thérie à notre vie où est ce qu'on peut arriver ?
Si par exemple, au lieu de vivre dans la cité X, t'aurais été dans Y, est ce que tu aurai reçu la même éducation? Est ce que tu poursuivras les même études? Est ce que t'aurais la même façon de voir les choses?
Si en passant le bac, t'avais eu une autre donnée dans l'excercice du maths ou de physique, ta moyenne aurait changé, t'aurai eu une autre école ou faculté, ta vie aurait changé radicalement. Est ce que tu aurais pû être en train de lire ce post en ce moment ?
Si t'as eu internet qu'à une semaine après, est ce que tu pourras être en train de faire ce que tu fais en ce moment ? Si... Si... Si...

Tous ces paramètres et des milliers d'autres pourraient changé ta vie de façon diagonale, mais on se rend pas compte. Chaque instant qu'on vit agit sur notre futur, notre destin est entre nos mains et dans les choix que nous faisons. La vie n'est qu'une suite d'épreuves, de choix, de succès, de réussite. Des fois, même les echecs sont le terrain pour des réussites future, c'est pourquoi d'ailleurs faut apprendre de nos erreurs.

Je me pose toutes ces questions, heureusement que j'ai appris à ne jamais regretter quoi que ce soit et je me dit enfin: "Dieu merci je suis là".

Blague du jour...

Un mathématicien, un physicien, un chimiste et un informaticien sont devant un problème : montrer que tous les nombres impairs sont premiers.

Le mathématicien : "3 est premier, 5 est premier, 7 est premier, 9 n'est pas premier; ah, donc ça ne marche pas".
Le physicien : "3 est premier, 5 est premier, 7 est premier, 9 n'est pas premier; bon, en première approximation, ça marche".
Le chimiste : "3 est premier, 5 est premier, 7 est premier, donc ça marche".
L'informaticien : "3 est premier, 5 est premier, 7 est premier, 9 n'est pas premier, 9 n'est pas premier, 9 n'est pas premier, 9 n'est pas premier,..."

Tuesday, October 17, 2006

Séduction vs Provocation

J'étais en train de feuilleter quelques blogs, mettre un commentaire par ci, un autre par là, lire un commentaire qui me fait rire et un autre qui me fait réfléchir. Et l'un d'eux, parlant de séduction et provocation, m'a fait pensé à cette relation qui s'avère d'une ressemblance diagonale, bien que proche l'une de l'autre.

Explication, la séduction c'est l'art de se faire plaire en utilisant des moyens se basant sur la délicatesse, les bonnes manières,... mais la limite de ça, c'est bien la provocation. La provocation, quant à elle, a plutôt le sens de l'incitation, défi, obligation,... usant des fois des moyens plus au moins agressives. Exemple, voyons une femme avec des vêtements dénudés (j'ai rien contre bien au contraire), mais surtout faisant des gestes provoquant avec les yeux, le corps,... c'est pas de la séduction mais de la provocation. Des fois, ça salit cette image qu'on est en train de voir. La discrétion est l'une des atous de la femme, et voyons ce que font certaines, je me dis où est passé la féminité dans tout ça ?On provoque, OK, mais pourquoi ? pour se faire plaire, mais si l'autre ne s'intéresse pas dès le début pourquoi user de la proc, la séduire pour attirer son attention délicatement, OK, ça se comprend, on peut pas tout remarquer dans la vie. Quelqu'un peut se dire, mais la limite de la séduction est relative, des fois certaines choses qui appartiennent à un ensemble pour un X appartient à l'autre pour un Y. Oui, mais il y a bien des manières pour communiquer, un cadre socio-culturel qui spécifie la séduction de la provoc.

Enfin de compte, chacun est libre de faire ce qu'il lui semble correct, mais dans la limite de l'usuel.

Comme un... chinois



Les chinois ont un pouvoir extraordinaire à ce qu’ils disent...
Le secret viendrait qu’ils ne voient pas les choses comme nous.
Par exemple l’image ci-dessous est incompréhensible si on la regarde comme un occidental.
Par contre, comme un chinois...

Si vous ne me croyez pas, regardez la d’abord normalement...
Ensuite tirez l’extrémité de vos yeux avec vos index, pour vous faire des yeux bridés, et regardez à nouveau !
Ils ne voient pas les mêmes choses que nous !!!

Friday, October 13, 2006

Vendredi 13... Le mythe

Pour les fans des films d'horreur, le Vendredi 13 représente une série de films d'horreur datant des années 80 jusqu'à nos jours. Mais à part ceci, y a la Paraskevidékatriaphobie, et c'est la superstition du Vendredi 13 qui a pour origine religieuse, chrétienne. En effet, d'après le Nouveau Testament, treize personnes (Jesus-Christ et ses douze apôtres) ont assisté à la Cène, la veille du Vendredi Saint et c'est le 13ème convive (Judas) qui trahira Jésus en ce qui concerne le vendredi, c'est lié au fait que le Christ aurait été crucifié un vendredi. On peut toutefois remarquer que le jour honni des Espagnols est le mardi 13.

Aujourd'hui c'est un Vendredi 13, je crois que je vais me planquer chez moi, on sait jamais.

Thursday, October 12, 2006

Journée de Brassage Culturel Tunisie- Corée, "Tunisia-Korea... So far... So alike"




La Jeune Chambre Economique d'El Menzah en collaboration avec l'Ambassade de la République de Corée organise le Samedi 14 Octobre 2006 au Centre Culturel et Sportif de Jeunes El Menzah VI une journée de brassage culturel Tunisie-Corée, selon le programme suivant:

Avant la rupture du jeune :

12h00 : Exposition d’objets représentant les patrimoines culturels tunisien et coréen

14h00 : Projection d’un film coréen

Après la rupture du jeune :

20h30 : Introduction des invités et allocutions d’ouverture

20h55 : Présentation de l’action

21h00 : Défilé d’habits traditionnels coréens et tunisiens (par des enfants)

21h30 : Spectacle de Taekwondo (4 maîtres coréens)

22h15 : Présentation musicale coréenne

22h30 : Présentation musicale tunisienne

22h45 : Présentation du centre d’études coréennes à l’université Manouba

22h50 : Dégustation de plats coréens et tunisiens

[Update]

Le film Coréen qui sera projeté pendant la journée c'est: J.S.A JOINT SECURITY AREA.

Synopsis:
En pleine nuit, dans un poste de garde nord-coréen situé dans la zone de sécurité séparant les deux Corées, éclate une fusillade. Deux soldats sont retrouvés morts mais les circonstances du drame restent mystérieuses. Le sergent Sophie E. Jean est chargée de mener l'enquête sur ces meurtres qui impliquent Coréens du Nord et du Sud, tout en évitant un incident diplomatique...